Diagnostiqueur immobilier et motard
Stéphane exerce le métier de diagnostiqueur immobilier depuis quelques mois. Toutefois, il le fait en alliant sa passion : la moto. Souvent, il se rend d’ailleurs en rendez-vous sur son bolide : une Kawasaki Ninja 650 2020. Découvrez le profil de ce professionnel pas comme les autres !
Depuis quand faites-vous de la moto ?
J’aime la moto depuis de nombreuses années. Mon père en a d’ailleurs eu plusieurs. Et je crois que c’est lui, qui m’a transmis sa passion. Je me souviens de la première fois qu’il m’a emmené à l’arrière de son Harley Davidson. Les sensations et la vitesse étaient vraiment grisantes. Je me souviens que mon cœur battait à mille à l’heure. Depuis cette virée, j’ai aimé la moto et je me suis dit qu’une fois en âge d’avoir le permis, j’en aurai aussi une.
Quelle a été votre première moto ?
Alors, j’ai en fait commencé par un scooter. Puis à 18 ans, j’ai eu ma première moto. J’étais trop content et très fier en même temps. C’était une Ducati Monster 797.
Et maintenant, sur quelle moto roulez-vous ?
Maintenant, je suis passé sur une Kawasaki Ninja 650 2020. Je voulais passer depuis un moment sur Kawasaki et je me suis décidé il y a quelques mois. Je ne regrette pas du tout. Cette moto me procure de magnifiques sensations. Et j’adore son look. Je m’en sers d’ailleurs un peu partout : en ville, pour les trajets plus longs et même pour aller en clientèle. Pour me faire plaisir, je vais parfois même sur circuit.
Qu’est-ce qui vous plaît dans le circuit ?
Franchement, c’est totalement différent par rapport à la route. Déjà, il n’y a pas la limitation de vitesse et ça change tout. Je peux vraiment me faire plaisir au guidon de ma moto. C’est là où je peux avoir le plus de sensations. En plus, je ne suis pas gêné par les autres automobilistes, un vrai danger parfois en ville.
En parlant de ville, vous travaillez parfois en moto : racontez-nous !
Alors ce n’est pas toujours possible mais lorsque c’est le cas, je prends sans hésiter ma moto pour travailler, été comme hiver. Déjà, je préfère conduire ma moto que ma camionnette. Mais en plus, ça me permet de gagner beaucoup de temps au niveau des trajets. Du coup, j’utilise la moto pour certains rendez-vous. Par contre, quand je dois prendre du matériel, j’ai la camionnette.
Vous connaissez d’autres diagnostiqueurs immobiliers à moto ?
A vrai dire, pas vraiment. Je connais bien évidemment d’autres diagnostiqueurs mais aucun ne travaille en moto. En revanche, lors de ma formation de diagnostiqueur immobilier (voir ce site), je me souviens qu’il y avait un autre stagiaire qui venait en moto. On avait parlé ensemble mais on n’est pas resté en contact. Du coup, je ne sais pas s’il travaille en moto ou pas.
Et à côté de la moto, avez-vous d’autres passions ou loisirs ?
Oui, j’ai différents loisirs. A côté de la moto, je fais beaucoup de sport et je sors un peu comme tout le monde. Je vais au cinéma, en soirée…
Pour revenir à la moto, vous pensez garder combien de temps votre Kawazaki ?
Honnêtement, je ne me suis pas fixé une durée précise. En revanche, je compte bien la garder un moment. J’aime bien cette moto. Après, je ne suis pas à l’abri d’un coup de cœur, qui me ferait changer de moto. Cela dit, j’ai gardé ma première bécane une dizaine d’année. Pour celle-ci, ce sera probablement à peu près pareil.
Pour la prochaine, pensez-vous rester sur Kawazaki ou changer ?
En fait, je suis hyper content de ma Kawasaki. Pour le moment, je n’en changerais pas. Et pour la prochaine, je n’y ai pas encore vraiment réfléchi. De nouveaux modèles vont d’ailleurs sortir d’ici là et beaucoup de choses peuvent se passer. Aucune idée donc !
Qu’est-ce que vous aimez sur votre moto ?
Plusieurs choses à vrai dire. Cela commence par l’esthétique sportive mais aussi son confort. Elle est très agréable à conduire. Et pour finir, j’adore les sensations qu’elle me procure.
Est-ce que vous suivez un peu la compétition ?
En réalité, je le fais mais de loin. Je ne suis pas du genre à regarder une course devant la télé pendant toute une après-midi. Je préfère plutôt sortir faire une virée ou aller sur circuit. Mais je suis tout de même les résultats. Je mentirais donc si je disais que la compétition ne m’intéresse pas du tout.
Que pensez-vous de la multiplication des radars sur les routes ?
C’est vrai qu’il y en a de plus en plus. Je me suis déjà fait flasher plusieurs fois d’ailleurs. Ce que j’en pense, c’est que cela est parfois plus dangereux qu’autre chose. Un jour, j’ai d’ailleurs vu une voiture freiner vivement à la vue d’un radar. Ce genre de comportement peut vraiment mener à l’accident, davantage que la vitesse.